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creme anglaise
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  • Nous Sommes Emilie et Jocelyn, les créateurs des objets de décoration et Mobilier en Bois poétique Crème Anglaise. Nous fabriquons et imaginons avec beaucoup d'amour chaque produits comme si ils etaient pour nos 3 enfants !!
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27 juillet 2010

Merci ZE magazine!!!

Et aussi pour bien commencer la semaine, une autre exclu dans la section "crème anglaise dans la presse", et oui on parle de nous sur le magazine en ligne français : ZE magazine !!'

Un grand merci a Philipe Dayan rédacteur en chef du magazine, d'avoir repérer mes créations, ma marque au milieu de tant d'autre choses, et d'avoir pris le temps de m'écouter raconter ma vie et celle de "Crème anglaise", c'est un jolie cadeau de mariage ;)

pour voir l'article cliquer ici

ou lisez le la:

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"Emilie Perez, french touch sur Crème Anglaise …

L’idée de faire de la décoration spécifiquement à destination des enfants lui est venue à la naissance de son fils Maël en 2008. Elle cherchait quelque chose de « sympa » pour mettre au-dessus de son berceau. Mais parce qu’à Londres où elle vit avec son compagnon Jocelyn depuis 2002 rien dans le domaine ne répondait à son goût, la voilà qui décide de fabriquer un objet de ses propres mains. En l’occurrence, une adorable guitare confectionnée dans une chute de tissu de la maison Pierre Frey qu’elle personnalise en y brodant les initiales du chérubin.

Rif de création sur guitare en tissu !

Des amis qui voient la guitare en question trouvent l’idée « absolutelyabsolutely fabulous » ! Et incitent la jeune maman à la présenter aux boutiques pour enfant existant dans la capitale anglaise. L’une d’elles, « Bobo Kids », craque d’entrée de jeu et lui passe commande. Encouragée, Emilie Perez, qui avait un temps caressé le projet de monter un multimarques enfant sous l’enseigne « Crème Anglaise » en tandem avec l’une de ses cousines (projet abandonné en raison des coûts exorbitants des pas de porte londoniens) décide d’en reprendre le nom pour baptiser la ligne d’objets de décoration qu’elle se met alors à concevoir.
Coussins. Poufs. Mobiles. Boîtes à musique. Ailes et hirondelles en tissu Liberty. Saxos. Et bien sûr la guitare (dont une version hochet) pour rockers miniatures ! Autant d’éléments qu’elle imagine à partir de coupons d’étoffes achetés au coup de cœur et le plus souvent lors de ventes de fins de séries et réalise de A à Z. Des pièces s’avérant pour le coup uniques mais ayant pour leitmotiv commun la présence d’une touche cuir, son matériau de prédilection depuis ses études au London College of Fashion.

SwingingSwinging London …

Parisienne de naissance (il y a vingt sept ans) mais grandie à Toulouse où ses parents s’étaient installés alors qu’elle avait tout juste deux ans, Emilie rêvait depuis sa plus tendre enfance d’une carrière dans la mode. Influence de sa mère Lorène, peintre de son état, mais dont la dextérité à manier la machine à coudre pour confectionner des vêtements l’avait conduite à en apprendre les rudiments à sa préadolescente de fille. Une initiation en forme de révélation pour Emilie qui n’a plus de cesse que de tout transformer autour d’elle.
A l’occasion de vacances dans le Gers où sa famille possède une maison, l’une de ses amies dont l’oncle n’est autre que le créateur Jean-Charles de CastelbajacCastelbajac lui parle de Londres et de l’excellence de ses écoles de mode. Mais auparavant, il lui faut réussir son baccalauréat section économie et social. Qu’elle rate par deux fois !

C’est à ce moment-là que son « boy friend » Jocelyn rencontré à Toulouse et ébéniste de profession lui propose de rallier la swingingswinging London pour tenter leur chance. Emilie ne parle pas un traître mot de la langue de Shakespeare. Elle décide pourtant de relever le défi. Après une première année au pair afin d’apprendre l’anglais, elle élabore un portfolio pour présenter à l’entretien d’admission du London College of Fashion. Reçue, elle y passe trois années avec le but de devenir styliste spécialisée en prêt-à-porter femme.
En sortant de l’école, c’est pourtant la marque enfant OHBI London qui la recrute pour assurer le style des collections et en développer l’implantation sur la France. Au bout d’un an, enceinte de Maël, elle quitte l’entreprise avec déjà la certitude que l’univers de l’enfant était le plus adapté à ses centres d’intérêt créatif.

Crème Anglaise ne tourne pas à l’aigre …

Après une petite année d’existence sans autre stratégie marketing que l’envoi par mail d’un communiqué accompagné de quelques visuels de ses réalisations, Crème Anglaise compte sept points de vente (dont trois sur Paris) et commence à attirer l’attention des grands magasins.
Depuis peu « officiellement » mariée au père de Maël, le fait d’avoir réaliser les robes de ses petites filles d’honneur donne l’envie à Emilie Perez de mettre en œuvre une ligne de vêtements pour l’enfant. Autre projet : la création, en collaboration avec son ébéniste d’époux d’un mobilier spécifiquement à destination de nos chères « têtes blondes, brunes, rousses, noires ».
En tous les cas, même si le couple affirme beaucoup aimer sa vie au royaume de sa très gracieuse Majesté Elisabeth II, il ne veut pas moins retourner s’installer en France sitôt que l’aventure Crème Anglaise lui en donnera l’opportunité."

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